La newsletter du lundi

Chaque semaine, du concret pour avancer, réfléchir et éviter les pièges

Pour les indépendants qui veulent réussir mais pas à n’importe quel prix

Ici, on parle vrai : les galères du quotidien (les tiennes, les miennes, celles qu’on aurait préféré oublier), des conseils comm’ que tu peux appliquer avant même d’avoir fini ton café, et un point de recul pour éviter de finir à élever des licornes dans le Larzac.

Ici, pas de “hack pour doubler ton CA avant mardi”. Juste de quoi bosser mieux, respirer un peu, et arrêter de te demander si c’est toi le problème.

Les dernières Newsletters

Qui décide : toi ou le tractopelle ?

Qui décide : toi ou le tractopelle ?

Le vrai souci, c’est peut-être pas les promos… mais ce truc chelou dans ton cerveau qui te fait prendre des décisions comme si tu étais possédé par un vendeur CDiscount sous caféine. Ajoute à ça des mots qui racontent l’inverse de ce que tu veux défendre, et une solitude stratégique digne d’un hamster dans une roue… et tu tiens le combo parfait pour tourner en rond en toute élégance. On démonte tout ça, et il se pourrait bien qu’une ou deux ampoules s’allument 😉

La voie du mec de l’ombre

La voie du mec de l’ombre

On aborde ce moment où tu cours après le “résultat” comme si c’était un Pokémon rare… sauf qu’à force de cavaler, tu laisses ton énergie, ta cohérence, et parfois même ton compte en banque sur le trottoir. Pourquoi certains indépendants respirent enfin en revenant à leur vrai métier, pendant que d’autres s’égarent dans des stratégies qui leur vont aussi bien qu’un costume trois pièces à un lama ? Et surtout : ça raconte quoi sur ta manière de communiquer, de décider, et de bosser sans perdre ton âme (ni ta santé mentale) ?

Et si c’était le moment ?

Et si c’était le moment ?

Quand ton cerveau essaye de gérer ta com’, ton site, ton mojo, tes projets 2025 et l’envie de dormir trois jours d’affilée, cette newsletter questionne un truc : t’es dans quelle case ? Clarifier, hiberner, ralentir ou accélérer ? Et surtout… est-ce que tu décides enfin quelque chose, ou tu continues à courir entre Halloween et Noël avec une citrouille sous le bras et un renne en laisse ?

Je bosse donc je suis…. qui ?

Je bosse donc je suis…. qui ?

Entre les costumes qu’on porte pour bosser, ceux qu’on garde pour survivre, et ceux qu’on oublie d’enlever (au point de finir symboliquement avec une tronçonneuse au Monoprix), cette newsletter te pose une question simple : qu’est-ce que tu montres, qu’est-ce que tu caches… et lequel de tes costumes commence à trop te serrer ? Au fond, il te sert encore… ou tu transpires dedans comme dans un déguisement de pirate en polyester ?

J’ai hésité à t’écrire

J’ai hésité à t’écrire

Entre la tempête économique, la tentation de hiberner sous un plaid et ces moments où même une raclette devient ton principal concurrent, cette newsletter pose une vraie question : tu réagis comment quand ça secoue ? Tu te planques, tu fais semblant que tout roule, ou tu ajustes ton cap pour avancer sans finir en mode ficus dépressif ? Et surtout… qu’est-ce que tu décides maintenant, là, avant que ton cerveau ne négocie encore un report à demain ?

Pourquoi je devrais t’appeler ?

Pourquoi je devrais t’appeler ?

Tu connais ces moments où tu fais un post super drôle, tout le monde like… mais personne ne lit le fond ? Cette newsletter parle exactement de ça : ce décalage entre ce que tu montres et ce que les gens retiennent, la confusion quand tu fais mille choses à la fois, et la responsabilité qu’on évite parfois au profit d’un épisode Netflix. Au fond : si quelqu’un devait te recommander, il dirait quoi ? “Elle fait des posts marrants”… ou “Va la voir, elle t’aide vraiment” ?

J’ai fait une thérapie de couple…

J’ai fait une thérapie de couple…

Quand ton business commence à ressembler à un vieux couple qui ne se parle plus, c’est qu’il y a un souci : plus de papillons, plus d’envie, juste des “on verra plus tard” et des tentatives foireuses pour raviver la flamme (genre changer de format ou de stratégie comme on change de déco IKEA). Cette newsletter parle de ça : ce moment où tu crois que c’est “technique”, alors que c’est clairement “émotionnel”. Est-ce que tu veux encore de cette relation… ou est-ce que t’es juste en train d’espérer que Bali sauvera ton couple pro ?

L’art de faire exactement l’inverse de ce qu’on devrait…

L’art de faire exactement l’inverse de ce qu’on devrait…

Tu vois ce moment où tu réalises que tu passes 6 heures sur une newsletter que 80% des gens liront entre deux bouchées de pâtes ? Cette newsletter parle exactement de ça : du plaisir qui te porte, des “méthodes qui marchent pour tout le monde” (sauf toi), et du piège de vouloir être rentable en s’arrachant l’âme. On décortique le vrai sujet : comment bosser d’une façon qui te ressemble, qui remplit aussi ton frigo… sans finir en gourou du marketing ou en moine Shaolin du contenu gratuit. En gros : tu fais quoi par conviction… et quoi par réflexe ?

Ta mayonnaise ne pardonne pas

Ta mayonnaise ne pardonne pas

Cette semaine, je t’embarque dans mon cours à la fac où j’ai tenté d’enseigner l’empathie à 30 futurs chefs de chantier encore en phase de décomposition post-intégration, et étonnamment, personne ne m’a jeté de niveau laser à la tête.
On parle donc d’un truc essentiel : adapter ton message pour éviter que tes clients te mangent ton énergie et ton temps. Pourquoi un post cartonne dans un groupe Facebook et s’écrase ailleurs ? Pourquoi parfois tu crois “aider” mais tu respires juste la panique ? Bref : comment parler aux gens sans finir en miettes émotionnelles.

La leçon à 14 euros… 😅

La leçon à 14 euros… 😅

Ce week-end, j’ai payé 14 balles un petit-déj qui promettait “Delicious & Fresh”… et j’ai eu “Désolé & Vide”. Et en voyant la serveuse seule, en mode Titanic sans canot, j’ai réalisé un truc : on fait la même connerie dans nos activités. On veut assurer tout seul, on s’entête, on se rassure, on survend un peu… et derrière, ça suit pas.
Dans cette newsletter, on parle de ça : le piège du “ça va le faire”, les questions qui trahissent qu’on cherche à se rassurer plus qu’à aider, pourquoi certaines comm’ attirent mais flinguent la confiance derrière, et jusqu’où pousser le curseur sans finir comme un buffet vide à 14€.

Est-ce que je vais tenir émotionnellement ?

Est-ce que je vais tenir émotionnellement ?

Et si on parlait d’une vraie question qu’on n’ose jamais poser : « Est-ce que je vais tenir émotionnellement ? » Pas le “ça va” automatique façon LinkedIn héroïque, mais le vrai truc qui gratte sous la peau quand ton job t’épuise, que t’as 12 casquettes, et que ton cerveau menace de déclarer forfait.
On parle fatigue émotionnelle, envies de tout envoyer balader, diversifier pour survivre, et arrêter de croire qu’on doit “kiffer à 100%” H24. Bref : comment arrêter de culpabiliser d’être humain quand t’es indépendant, et pourquoi parfois, oui, le minimum syndical sauve des vies.

La petite peur qu’on cache tous

La petite peur qu’on cache tous

Cette semaine, on part d’un truc simple : ma table a littéralement pris feu (oui oui), ma machine a parlé en morse, et j’ai réalisé que Sandrine, une cliente pas si totalement fictive, faisait exactement pareil : bloquer, dire “non”, attendre “le moment parfait”, puis se demande pourquoi rien ne décolle.
On parle donc de ces “non” qui te protègent de ta propre trouille, des premiers petits “oui” qui relancent tout, et de comment avancer sans devenir la vendeuse relou qui saute sur les gens. En gros : qu’est-ce que tu refuses depuis trop longtemps… et qui changerait tout si tu disais enfin oui ?